Il faisait chaud ce soir-là, une chaleur lourde qui s’attardait même après le coucher du soleil. Je venais de finir d’arroser les massifs et m’apprêtais à rentrer, quand j’ai aperçu mon jeune voisin qui traversait le jardin d’un pas hésitant. Vingt-deux ans à peine, un visage encore juvénile mais un corps athlétique, forgé par le sport. Il m’a saluée poliment, un peu gêné, ses yeux fuyant à chaque fois que mon regard s’attardait trop sur lui.
J’ai souri intérieurement. Voilà des semaines que je le voyais me lancer des regards curieux, maladroits, parfois plus insistants. Ce soir, il semblait plus nerveux que d’habitude. J’ai profité de l’occasion.
« Tu m’aides à ranger les outils ? » ai-je demandé d’un ton léger.
Il a hoché la tête, me suivant vers le cabanon du fond du jardin.
À l’intérieur, l’odeur du bois et de la terre se mélangeait au parfum des plantes que je stockais là. La lumière tamisée donnait au lieu un air secret. Il referma la porte derrière lui, et soudain, nous fûmes seuls, enfermés, loin des regards.
Je me suis approchée, très près, assez pour sentir son souffle court. J’ai posé ma main sur son torse, le forçant doucement à reculer contre le mur de bois. Ses yeux se sont agrandis, mais il n’a pas bougé.
« Tu sais, tu me regardes depuis un moment », ai-je soufflé. « Ce soir, tu vas apprendre quelque chose… mais à ma manière. »
Il a dégluti. Ses mains tremblaient légèrement. J’ai adoré cette hésitation, ce mélange d’envie et de peur.
J’ai attrapé ses poignets et les ai plaqués contre le mur. Il n’a opposé aucune résistance. Au contraire, son corps vibrait déjà d’une tension délicieuse. Je l’ai relâché juste pour déboutonner sa chemise. Son torse est apparu, ferme, encore un peu marqué par l’adolescence. J’ai laissé mes doigts descendre vers ses tétons, les pinçant brusquement. Il a sursauté, un gémissement lui échappant.
« Chut », ai-je soufflé, mon visage à quelques centimètres du sien. « Tu n’as pas le droit de dire non. Tu dois accepter. »
Il a hoché la tête, les lèvres entrouvertes.
Je l’ai fait s’asseoir sur un petit banc, puis je suis allée chercher dans un coffre quelques accessoires que j’avais soigneusement rangés. Le cliquetis du cuir et du métal résonnait dans le silence. Ses yeux s’écarquillaient à chaque objet que je sortais : une petite badine souple, un gode-ceinture en cuir noir, des pinces brillantes.
Il a murmuré un « mon Dieu » à peine audible. J’ai souri.
Je me suis approchée de lui, j’ai ouvert son pantalon et libéré sa queue déjà dure, tendue par l’excitation et l’angoisse. J’ai caressé ses couilles du bout des doigts avant de les saisir fermement, les pressant juste assez pour le faire gémir. Sa bite a bondi contre son ventre.
Je me suis penchée, mes lèvres effleurant son oreille. « Tu vas apprendre à jouir autrement… en perdant le contrôle. »
Je l’ai poussé à genoux au sol, sa queue dressée ridicule de désir. Je me suis installée sur le banc, l’ai forcé à ouvrir les cuisses. La badine a claqué doucement sur sa peau, d’abord sur l’intérieur des cuisses. Un bruit sec, une trace rouge légère, un cri étouffé.
« Regarde-moi », ai-je ordonné. Ses yeux se sont accrochés aux miens, brillants d’un mélange de douleur et de plaisir.
Je lui ai frappé les fesses, encore et encore, chaque claquement résonnant dans le cabanon. Son souffle devenait plus lourd, son dos se cambrant malgré lui. Entre chaque coup, je le caressais, laissant mes doigts glisser sur ses tétons, que je pinçais, que je tordais. Il gémissait comme un animal pris au piège.
Puis j’ai attaché le gode-ceinture autour de mes hanches. Le cuir chaud épousait ma peau, le poids du jouet me donnait une autorité nouvelle. Je me suis approchée de lui, l’ai forcé à ouvrir davantage ses cuisses. Ma main a serré ses testicules encore une fois, fermement, avant de relâcher. Il haletait, incapable de me dire non.
Je lui ai caressé le visage, puis j’ai poussé doucement le godemiché contre ses lèvres. « Ouvre », ai-je ordonné. Ses lèvres se sont entrouvertes, et je l’ai forcé à avaler un peu, juste assez pour qu’il sente l’humiliation, la soumission. Sa gorge se contractait, il s’étouffait à moitié, mais son sexe battait contre son ventre, dégoulinant déjà de désir.
Je l’ai retiré, laissant un filet de salive couler de ses lèvres. J’ai éclaté de rire. Puis je l’ai fait pivoter, l’obligeant à se mettre à quatre pattes devant moi. Sa peau brillait de sueur, ses fesses déjà marquées de fines stries rouges.
J’ai caressé ses reins, ses hanches, puis j’ai pressé le gode contre son petit trou serré. Il a tressailli, a tenté de se dérober. J’ai posé ma main dans son dos, le maintenant fermement.
« Respire », ai-je soufflé. « Tu vas aimer. »
J’ai commencé à l’enfoncer, lentement, très lentement, laissant son corps s’habituer. Il gémit, un gémissement long, brisé, presque douloureux. Mais son sexe coulait, dégoulinant sur le sol du cabanon.
Chaque poussée plus profonde arrachait un nouveau son à ses lèvres. Je l’encourageais, ma voix douce mais ferme, le guidant dans sa chute. Je lui pinçais les tétons quand il faiblissait, je frappais ses cuisses de la badine quand il hésitait. Jusqu’à ce qu’il se tende, totalement soumis, offert, perdu.
Son corps tremblait sous moi, ses mains agrippées au bois rugueux. Je continuais de le prendre, plus fort, mes hanches claquant contre ses fesses. Ses couilles pendaient, gonflées, et je les pinçais de temps en temps, déclenchant des sursauts délicieux.
Puis j’ai glissé ma main sous lui, attrapant sa bite. Elle pulsait, brûlante, prête à exploser. J’ai serré, frotté, en cadence avec mes coups de reins.
Il a crié. Son dos s’est cambré, sa queue a jailli, éclaboussant le sol et mes doigts. Ses gémissements se sont changés en râles de plaisir pur, incontrôlable.
Je ne l’ai pas lâché pour autant. Je l’ai maintenu encore, le gode bien planté en lui, mes doigts toujours serrés sur ses couilles, le forçant à prolonger son orgasme, à souffrir et jouir tout à la fois.
Quand enfin il s’est écroulé, tremblant, vidé, je l’ai caressé doucement. Ses yeux étaient mi-clos, son souffle haletant.
Je me suis penchée à son oreille. « Tu vois… perdre le contrôle, c’est ça, le vrai plaisir. »
Cliquez sur la photo, Mon jeune voisin se soumet dans la cabane de jardin pour faire une rencontre fétichiste !