Je ne m’attendais à rien ce jour-là. J’étais allé au supermarché pour acheter trois bricoles, les yeux encore embrumés d’une semaine de boulot. Et puis je l’ai vue. Elle choisissait des bouteilles de vin dans le rayon, sa posture élégante, son regard assuré, son sourire mystérieux.
Nos yeux se sont croisés une seconde. J’ai senti mon ventre se serrer. Je n’ai jamais été du genre à draguer, encore moins dans un supermarché. Pourtant, quelque chose m’a poussé vers elle. Une force étrange, presque irrésistible.
Nous avons échangé quelques mots, un sourire, une blague banale sur la météo. Elle rit, un rire clair qui me désarma aussitôt. J’ai proposé, un peu maladroitement :
– « Ça vous dirait un café au bar du coin ? »
Elle m’a observé quelques secondes, son regard planté dans le mien, puis a hoché la tête.
– « Pourquoi pas. »
Au bar, l’ambiance était feutrée. Nous étions assis face à face, deux cafés fumants entre nous. Je tremblais légèrement, surpris de ma propre audace.
– « Je ne comprends pas ce qui m’arrive », ai-je fini par avouer, la voix basse. « Mais je dois être honnête. J’ai tendance à être soumis. C’est rare que j’en parle, encore plus à une femme comme vous. Belle, assurée… vous dégagez une aura incroyable. »
Elle me fixa longuement, un sourire énigmatique aux lèvres.
– « C’est flatteur », répondit-elle d’une voix ferme mais douce. Puis elle ajouta, presque en chuchotant : « Et sache que je suis bien plus que cela. »
Un frisson me parcourut l’échine.
La conversation continua. Petit à petit, sans que je comprenne vraiment comment, ses phrases devinrent plus directives. Au lieu de me demander si je voulais un sucre, elle me dit :
– « Mets du sucre dans ton café. »
Je m’exécutai. Elle sourit.
Plus tard :
– « Regarde-moi droit dans les yeux quand tu parles. »
Je m’exécutai encore, la gorge sèche.
Chaque ordre, même anodin, me faisait vibrer. Je n’avais jamais ressenti une telle excitation juste en obéissant.
Après une longue pause, elle pencha la tête.
– « Viens chez moi. »
Ce n’était pas une proposition. C’était un ordre. Et je n’ai pas hésité.
Son appartement était sobre, élégant. Une grande chambre dominait, avec un lit large. Elle posa son sac, retira ses chaussures, puis se tourna vers moi.
– « Déshabille-toi. »
Je rougis, hésitai une seconde, puis obéis. Nu, vulnérable, je me tenais devant elle. Mon sexe bandait déjà, sans que je puisse le contrôler.
Elle sortit d’un tiroir des sangles de cuir.
– « Monte sur le lit. Allonge-toi. »
Je le fis. Elle attacha mes poignets, puis mes chevilles. Je me retrouvai totalement immobilisé, nu, offert. Je respirais vite, excité et nerveux.
Elle caressa mon torse, puis mon sexe, le pinçant légèrement.
– « Tu es volontaire ? » demanda-t-elle, son regard perçant le mien.
– « Oui », soufflai-je. « Je le veux. »
(Consentement explicite. Nous le savions tous les deux.)
Elle disparut quelques instants, puis revint avec plusieurs accessoires : une cravache fine, un gode-ceinture déjà luisant de lubrifiant, et une paire de pinces à tétons.
Mon cœur s’emballa.
Elle commença doucement, caressant ma peau avec la cravache, la glissant le long de mon ventre, de mes cuisses. Puis, d’un coup sec, elle claqua sur mon torse. Je sursautai, un gémissement m’échappa. La douleur était légère, brûlante, mais délicieusement excitante.
– « Tu aimes ça », constata-t-elle.
– « Oui… »
Elle continua, alternant caresses et coups secs. Mes tétons durcirent sous les assauts. Elle posa alors les pinces, les serrant doucement sur mes bouts sensibles. Je haletai, mon sexe gonflé à l’extrême. Chaque mouvement faisait vibrer mes tétons, chaque respiration me rendait fou.
Puis vint le gode. Elle enfila le harnais, le fixa autour de ses hanches, et s’approcha de moi.
– « Tu es prêt ? »
– « Oui… je veux… »
Elle écarta mes fesses, lubrifia mon anus, puis posa la pointe du gode contre mon entrée. Lentement, fermement, elle appuya. Je me crispai d’abord, puis mon corps céda, acceptant l’intrusion.
Un cri m’échappa, mélange de surprise et de plaisir. Elle me regardait fixement, surveillant chaque réaction. Puis elle s’enfonça plus loin, centimètre par centimètre.
– « Tu prends ça comme une bonne petite salope », dit-elle d’une voix ferme.
Je gémis plus fort.
Elle commença ses va-et-vient, d’abord lents, mes cuisses tremblant sous l’effort, puis plus rapides. Le gode frappait ma prostate, m’arrachant des gémissements rauques. Je tirais sur mes liens, incapable de bouger, livré totalement à son rythme.
La cravache claquait de temps en temps sur mes cuisses, mes fesses, mes tétons déjà pris dans les pinces. Chaque douleur déclenchait une vague de plaisir plus intense. Mon corps brûlait, mes yeux se révulsaient.
– « Oui… encore… » haletai-je, incapable de me retenir.
– « Tu es à moi », répondit-elle, accélérant encore.
Elle jouissait elle aussi, son clito frottant contre le harnais à chaque coup de reins. Ses gémissements se mêlaient aux miens. Nous étions pris dans la même tempête.
Mon orgasme monta, violent, incontrôlable. Sans même toucher ma queue, je giclai sur mon ventre, mes cris emplissant la chambre. Elle continua de me prendre, me maintenant dans cet état de transe, jusqu’à jouir à son tour, haletante, le corps en feu.
Quand elle se retira, je retombai sur le lit, tremblant, épuisé mais comblé. Elle détacha mes poignets et chevilles, caressa ma joue, puis me souffla :
– « Ce n’est plus un fantasme. Maintenant, c’est ta vie. Et tu as dit oui. »
Je hochai la tête, incapable de répondre autrement. Je savais que plus rien ne serait jamais pareil.
Cliquez sur la photo, Sous l’emprise de la belle inconnue pour faire une rencontre fétichiste !